A quand remonte le premier petit satellite ayant pour objectif une mission scientifique ? Comment les nanosatellites sont-ils apparus par la suite ? Peuvent-ils vraiment fournir les mêmes fonctionnalités que les satellites conventionnels ?
- David Mimoun Enseignant-chercheur responsable du groupe de recherche "Systèmes Spatiaux" à Supaéro (Ecole Nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace). Co-investigateur de la mission InSight.
- Marie-Anne Clair Directrice des systèmes orbitaux du CNES
Les satellites Spot, il y a 30 ans, pesaient entre 2 et 3 tonnes. Depuis lors, l’ingénierie satellite a suivi le même chemin que l’informatique : miniaturisation, réduction du poids, et réduction des coûts ; à tel point qu’aujourd’hui les plus petits satellites ne pèsent que quelques grammes. Ces nanosatellites ont également permis une démocratisation de l’accès à l’espace, la décentralisation de la fabrication de ces modules qui peuvent être produits dans des universités. Reste à savoir jusqu’où ils peuvent être exploités, jusqu’où ils peuvent être améliorés, et jusqu’à quel type d’usage ils peuvent être conduits.
Nanosatellites, petits mais costauds : c’est le programme qui est celui de La Méthode scientifique pour l’heure qui vient.
Et pour évoquer cette course à la miniaturisation spatiale, nous avons le plaisir de recevoir Marie-Anne Clair, directrice des systèmes orbitaux du CNES et David Mimoun, responsable du groupe de recherche « Systèmes spatiaux » à SUPAERO, co-instigateur de la mission Insight.
Le reportage du jour
Mathieu Barthélémy, chercheur à l’Institut de Planétologie et d’Astrophysique de Grenoble et directeur du Centre Spatial Universitaire de Grenoble, et Mélanie Prugniaux, ingénieure et chef de projet, présentent le nanosatellite ATISE, un CubeSat de 12U pour étudier les aurores polaires. Par Matthieu Lefrançois :
LA_METHODE_SCIENTIFIQUE - Reportage "Le nanosatellite ATISE" avec Mathieu Barthélémy et Mélanie Prugniaux
10 min
Le fil de l'émission
Pour afficher ce contenu Twitter, vous devez accepter les cookies Réseaux Sociaux.
Ces cookies permettent de partager ou réagir directement sur les réseaux sociaux auxquels vous êtes connectés ou d'intégrer du contenu initialement posté sur ces réseaux sociaux. Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
Pour afficher ce contenu Twitter, vous devez accepter les cookies Réseaux Sociaux.
Ces cookies permettent de partager ou réagir directement sur les réseaux sociaux auxquels vous êtes connectés ou d'intégrer du contenu initialement posté sur ces réseaux sociaux. Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
Pour afficher ce contenu Twitter, vous devez accepter les cookies Réseaux Sociaux.
Ces cookies permettent de partager ou réagir directement sur les réseaux sociaux auxquels vous êtes connectés ou d'intégrer du contenu initialement posté sur ces réseaux sociaux. Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
Pour afficher ce contenu Twitter, vous devez accepter les cookies Réseaux Sociaux.
Ces cookies permettent de partager ou réagir directement sur les réseaux sociaux auxquels vous êtes connectés ou d'intégrer du contenu initialement posté sur ces réseaux sociaux. Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
Les références musicales
Le titre du jour : Mini mini mini par JAcques Dutronc
Générique du début : Music to watch space girls by par Leonard Nimoy
Générique de fin : Bergschrund par DJ Shadow
L'équipe
- Production
- Collaboration
- Collaboration
- Réalisation
- Collaboration
- Collaboration
- Production déléguée
- Collaboration